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L’histoire du quartier de San Telmo

San Telmo, murmure ancien de Buenos Aires Il suffit de quelques pas dans San Telmo pour entendre les pavés raconter des histoires. Des histoires de marins fatigués, d’artisans obstinés, de dames en dentelle et de danseurs de tango dont les ombres glissent encore au coin des rues. Ici, la ville respire autrement, plus lentement, comme si le temps avait décidé de s’arrêter pour mieux se souvenir. Berceau colonial et âme bohème San Telmo est l’un des plus anciens quartiers de Buenos Aires. Ses origines remontent au XVIIe siècle, quand les colons espagnols bâtissaient des maisons basses et des églises de pierre. Il porte le nom de Saint Telmo, patron des navigateurs, car c’est vers ces rues proches du port que se tournaient jadis les regards des marins. Autrefois quartier bourgeois, il fut transformé par l’épidémie de fièvre jaune de 1871. Les riches familles fuirent vers le nord de la ville, abandonnant leurs demeures. Celles-ci furent reprises par des immigrés italiens, espagnols, et français, donnant naissance aux fameux conventillos : grandes maisons divisées en chambres partagées, où l’on entendait parler toutes les langues d’Europe, dans un concert d’accents et de nostalgies. Anecdotes et légendes au coin des rues Aujourd’hui encore… San Telmo est un poème qui s’écrit au présent avec de l’encre ancienne. Des antiquaires, des artistes, des écrivains et des rêveurs s’y croisent. Le dimanche, la Feria de San Telmo déploie ses trésors sur les trottoirs : montres gousset, vinyles oubliés, poupées d’un autre siècle, et tangos joués à la guitare sur les balcons. San Telmo, c’est le cœur ancien de Buenos Aires qui bat doucement, mais avec passion. Un quartier où chaque mur, chaque lampe en fer forgé, chaque balcon en fleurs semble murmurer : « Je me souviens… »

L’histoire du quartier de San Telmo

San Telmo, murmure ancien de Buenos Aires Il suffit de quelques pas dans San Telmo pour entendre les pavés raconter des histoires. Des histoires de marins fatigués, d’artisans obstinés, de dames en dentelle et de danseurs de tango dont les ombres glissent encore au coin des rues. Ici, la ville respire autrement, plus lentement, comme si le temps avait décidé de s’arrêter pour mieux se souvenir. Berceau colonial et âme bohème San Telmo est l’un des plus anciens quartiers de Buenos Aires. Ses origines remontent au XVIIe siècle, quand les colons espagnols bâtissaient des maisons basses et des églises de pierre. Il porte le nom de Saint Telmo, patron des navigateurs, car c’est vers ces rues proches du port que se tournaient jadis les regards des marins. Autrefois quartier bourgeois, il fut transformé par l’épidémie de fièvre jaune de 1871. Les riches familles fuirent vers le nord de la ville, abandonnant leurs demeures. Celles-ci furent reprises par des immigrés italiens, espagnols, et français, donnant naissance aux fameux conventillos : grandes maisons divisées en chambres partagées, où l’on entendait parler toutes les langues d’Europe, dans un concert d’accents et de nostalgies. Anecdotes et légendes au coin des rues Aujourd’hui encore… San Telmo est un poème qui s’écrit au présent avec de l’encre ancienne. Des antiquaires, des artistes, des écrivains et des rêveurs s’y croisent. Le dimanche, la Feria de San Telmo déploie ses trésors sur les trottoirs : montres gousset, vinyles oubliés, poupées d’un autre siècle, et tangos joués à la guitare sur les balcons.   San Telmo, c’est le cœur ancien de Buenos Aires qui bat doucement, mais avec passion. Un quartier où chaque mur, chaque lampe en fer forgé, chaque balcon en fleurs semble murmurer : « Je me souviens… »

L’histoire du quartier de Palermo de Buenos Aires

Palermo, cœur vert et bohème de Buenos Aires Palermo est le plus vaste quartier de Buenos Aires, un espace vibrant mêlant culture, nature et histoire. Son nom viendrait de l’immigrant sicilien Juan Domingo Palermo, qui possédait des terres ici au XVIIe siècle. Longtemps zone rurale, ce territoire s’est urbanisé au XIXe siècle, pour devenir aujourd’hui un patchwork de sous-quartiers : Palermo Soho, Palermo Hollywood, Palermo Chico, et bien d’autres. Un quartier, mille visages Autrefois faubourg paisible, Palermo a connu un tournant en 1875 avec l’inauguration des Bosques de Palermo sous la présidence de Sarmiento, désireux d’offrir aux porteños un poumon vert à l’européenne. Ce parc reste aujourd’hui l’un des plus grands espaces verts de la ville. C’est également dans Palermo qu’on trouve le planétarium Galileo Galilei, la Plaza Italia et le Jardin japonais, témoignages d’une ville ouverte sur le monde. Anecdotes et petits secrets Palermo est un quartier aux mille histoires, qui se réinvente sans cesse sans jamais oublier ses racines. Entre ses grands parcs, ses rues pleines de graffitis, ses cafés littéraires et ses soirées endiablées, il incarne à merveille l’esprit contrasté et fascinant de Buenos Aires.

L’Obeslisco de Buenos aires

J’ai pour habitude de commencer les visites de Buenos aires par l’Obelisco, c’est une place symbolique de la ville. La première question que me pose mes clients est  » Max dit nous, cet obélisque à la même symbolique que celui de Paris, il y a un lien entre les deux? ». Bon, celui de Paris est très différent et bien sûr n’ont pas la même histoire. Celui de Buenos aires est récent, sa construction a commencé le 20 mars 1936 et on l’inaugura le 23 mai 1936, et oui seulement 1 petit mois a suffi pour le construire. La ville voulait batir un symbole pour fêter les 400 ans de la ville. Il faut savoir qu’on a dû démolir l’église San Nicolas de Bari pour construire l’Obelisque, or c’est justement au sommet de cette église qu’on a hissé pour la première fois le drapeau argentin en 1816, d’ailleurs cet élément est inscrit sur la partie nord de l’Obelisco. Encore un paradoxe argentin, on démoli une église importante avec un symbole fort mais on donne son nom au quartier, il s’appelle maintenant San Nicolas. L’emplacement de cet Obélisque est stratégique, il est situé sur la fameuse avenue de 9 de Julio, l’avenue la plus large du monde selon les porteños non loin de la belle avenue Corrientes, le Teatro Colon n’est qu’à quelques pas. Je pose toujours la question à mes chers clients : « A votre avis combien mesure cet Obelisco? », Alors la je commence à sourire en entendant les réponses : »euh je dirais 200 metres! « , d’autres « moi je pense 250 metres ». Non , non et non… la bonne réponse est …., roulement de tambours, 67,5 metres! L’Obelsico est maintenant un point de rencontre et surtout un lieu de rassemblement pour exprimer sa joie ou sa colère Des millions d’argentins ont fêter la dernière coupe du monde remportée par la selection de football mais aussi des milliers d’autres s’y sont retrouvé pour exprimer leur refus des réformes gouvernementales. Encore des milliers de choses à dire sur cet emblème qui a failli être démoli seulement quelques années après sa construction. Je vous attends chers voyageurs pour une belle visite de la ville avec comme point départ, vous l’aurez compris, l’Obelisco ! maxguideargentine@gmail.com

Le Palacio Barolo, un bijou au cœur de Buenos aires

Si on parlait du plus bel édifice de Buenos aires ? J’ai nommé le Palacio Barolo de Buenos aires ! Comment ne pas rester en admiration devant cet édifice qui recele mille et un secret. Tout commence avec un certain Luis Barolo, débarqué son Italie natale à la fin du XIX siècles. Ce cher Luis a une idée de génie qui consiste à importer des machines à filer le coton, il est le premier à le faire. Il fait rapidement fortune en transformant le coton (le nord de l’Argentine est riche en coton, région frontalière avec la Paraguay) et en exportant le textile produit vers l’Europe ! Bingo c’est le commerce du siècle et le début d’une belle idée qui se met à germer dans la tête de Luis. Ce brillant personnage a souvent le mal du pays et souhaite amener l’Italie à Buenos aires ! Comment faire? C’est simple ! Il décide de construire l’édifice le plus haut du pays et d’Amérique du Sud et cerise sur le gateau il porterait son nom. Il souhaite bien évidemment une touche italienne à ce beau projet. En 1910, Luis contacte un certain Mario Palanti, architecte italien comme lui, venu de Milan quelques années avant. cet architecte Italien avait comme objectif de travailler avec les riches immigrants italiens installés en Argentine et en Urugay. L’alchimie entre les deux hommes va être instantanée ! La construction du Palacio début en 1919 et se termine en ….. devinez en combien de temps l’édifice sera construit ? euh 50 ans ? non! 25 ans alors ? Encore perdu ! En seulement 4 ans !! Et oui il n’aura fallu que 4 ans pour terminer ce chef d’oeuvre architecturale d’inspiration Art Nouveau et éclectique, avec des réminiscences néogothiques. Pourquoi en si peu de temps ? Tout simplement car l’argent coulait à flot ! Luis Barolo avait énormément de moyens financiers et importait la plupart des matériaux d’Europe notamment le fameux marbre de Carrare en Italie. Et si on parlait du style utilisé et de l’influence du Palacio Barolo ? L’architecte Italien Mario Palanti va s’inspirer du poète italien Dante Aliegheri (1265-1321) et plus particulièrement de son oeuvre « La Divine Comédie ». Il fallait absolument un édifice mesurant 100 metres comme les 100 chants de la Divine Comédie, diviser le Palacio en trois partie : enfer, purgatoire et paradis. Les 9 voûtes représentent les 9 étapes de l’initiation et hiérarchies de l’enfer. Sur la façade et à différents étages de l’édifice, on retrouve des citations en latin, ainsi que des représentations des animaux du poème, dont des condors et des dragons . On retrouve bien évidemment au somment du Palacio le phare pour se rapprocher de Dieu, d’ailleurs ce phare communique avec son jumeau situé A Montevideo en Uruguay appelé le Palacio Salvi. Qui a habité el Palacio Barolo ? Luis Barolo ? En fait non car lui est mort juste après l’inauguration en 1923, il aura juste eu le temps de voir l’oeuvre de sa vie achevée 🙂 Personne n’a jamais habité cet édifice, il a été destiné à abriter des bureaux. Autant vous dire que les loyers ne sont pas excessifs car impossible d’installer le chauffage ou de faire des aménagements car le Palacio fait partie du Patrimoine national. J’ai encore des milliers de choses à vous dire à propos du Palacio Barolo, vous parler du Rodin le contemplant, de ma muse de Dante, des signes francs-maçons etc… Prenez vite une visite avec moi pour en savoir plus sur ce lieu magique : maxguideargentine@gmail.com je vous attends chers voyageurs 🙂

Le Tortoni, mon café préféré

Lorsque j’organise une visite la ville de Buenos aires, je ne n’oublie jamais de faire une petite halte au fameux café Tortoni avec mes clients. C’est une étape obligatoire ! Mais problème … il y a souvent des heures d’attente avant de franchir la porte du Tortoni, ce lieu est vraiment victime de son succès . Alors certains de mes clients qui vont lire cet article vont peut-être rire et dire « mais non Max avec toi on ne fait pas la queue » ! Et oui c’est vrai, j’ai la chance de connaitre les bonnes personnes 🙂 La premiere réaction des clients en entrant est « wouawwww c’est magnifique! « . Effectivement, ce lieu chargé d’hsitoire et d’émtions vous transportera très loin dans le temps. Il était une fois en 1858, deux immigrants français (et oui il n’y avait pas que les italiens et les espagnols) Marie et Jean Touan originaires de Barcus dans les Pyrénées Atlantiques qui décident de s’offrir un café à Buenos aires. Nos deux petits français décident de l’appeler « Café Tortoni » en hommage au vrai café Tortoni de Paris (qui se trouvaient Boulevard des Italiens à Paris). Le succès est immédiat et le couple se fait rejoindre par ses deux enfants, Jean Pierre et Anne Touan. Il faut savoir que à l’oroigine se trouvait à l’angle des rue Rivadavia et Esmeralda, il n’a déménagé sur l’Avenue de Mayo qu’une vingtaine d’années plus tard. Un drame familial va toucher la petite famille Touan car le père et le fils meurent de la fièvre jaune dans les années 1870, la café Tortoni est revendu au gendre de Marie, Celestin Curutchet. Le café Tortoni va être pendant longtemps le lieu privilégié de la grande bourgeoisie de Buenos aires et des célébrités argentines et internationales (Carlos Gardel, Louis Borges, Federico Garcia Lorca etc..). Le style est purement français et est décoré avec élégance, les salles adjacentes sont aussi à visiter. Je serais ravi de vous raconter son histoire, ses anecdotes et ses secrets inavoués. Vous allez pouvoir aussi profitez d’un beau spectacle de tango dans la bodega du café, une pure merveille ! N’hésitez pas à réserver une belle visite : maxguideargentine@gmail.com A très bientôt !

L’histoire folle du café de los Angelitos à Buenos aires

Je vais vous raconter l’hisoire d’un des plus fameux cafés de Buenos aires, j’ai nommé le café de los Angelitos dans le quartier de Balvarena à l’angle de la rue Rincon et de l’avenue Rivadavia. Ce café me tient à cœur pour plusieurs raisons, déjà j’ai habité a 3 patés de maison de ce lieu riche en histoire et je passais devant tous les jours, quelques fois juste pour le plaisir de passer devant 🙂 Aussi l’histoire folle de ce lieu ! Ce café a été inauguré à la fin du XIX siècles (en 1890) par l’iatlien Batista Fazio, il s’appelait à l’époque le café Rivadavia du nom de l’avenue. Il est fréquenté par des voyous et des malfrats qui viennent se retrouver pour peut-être planifier leur prochain coup ! Le cafe d’antant n’avait pas la superbe qu’il a aujourd’hui, il était très modeste même le sol était en terre battue. Ce café était aussi connu par les amateurs de Payada, un folklore originaire d’Amérique du Sud. Le surnom « Angelitos » est venu grâce au commissaire du quartier qui à chaque qu’un méfait était commis disait ironiquement ‘ allons voir ce que ces anges ont encore fait ». En 1920 le café est racheté par un l’espagnol Angel Salguiero et s’empresse de le renommé cafe de los Angelitos, il ajoute bien évidement deux anges en plâtres sur la facade. Nous sommes dans l’âge d’or du tango et des personnalités de renom tel que le grand Carlos Gardel s’y retrouvent et se mêlent aux voyous. Il faut savoir que ce café était uniquement fréquenté par des hommes, les femmes n’y étaient pas admises, certaines changeaient de trottoir pour ne pas passer devant la porte. Le café perd de splendeur dans les années 1960 à cause des différentes crises que subies le pays , il a même du fermer ses portes pendant de nombreuses années. Le café de los Angelitos d’aujourd’hui n’a plus rien à voir et s’est transformé en un lieu touristique et intemporel. Les touristes du monde entier et les argentins se bousculent pour admirer ce lieu qui fait partie du patrimoine national. Le café propose aussi de magnifiques spectacles de tango et des diners respectant la tradition argentine. J’ai la chance de connaitre personnellement le propriétaire, une personne formidable et intarissable sur l’hsistoire de ce lieu mythique. N’hésitez pas à me solliciter pour une visite un peu particulière du café et des coulisses: maxguideargentine@gmail.com

La fabuleuse histoire du gardien du cimetière de la Recoleta

C’est l’histoire merveilleuse de David Alleno, gardien d’origine italienne du très chic cimetière de la Recoleta à Buenos aires. Nous sommes en 1881, Davil Alleno commence à 16 ans a travaillé dans ce cimetière, il est charge de l’entretien et des différents travaux de maintenance. Le jeune David est passionné par son travail et son rêve est d’avoir son propre caveau dans ce cimetière. Il faut savoir que le cimetière de la Recoleta est exclusivement dédié à la bourgeoisie locale car le prix des parcelles est très élevé. David n’est pas découragé, au contraire il se met à economiser sous après sous, peso après peso, se privant même de manger. Après quelques années d’économie, il arrive enfin à réunir la somme nécessaire et s’achète sans tarder une parcelle de terre dans le cimetière, il construit de ses mains un caveau sans l’aide de personne. David n’a jamais fondé de famille et vivait très modestement mais la chance va enfin lui sourire ! Sa grande sœur gagne le gros lot à la loterie nationale et choisi de partager ses gains avec toute sa famille. David reçoit une part des gains et aussitôt s’achete un billet de bateau (et oui les vols Air France n’existe pas encore) destination de Gêne en Italie. Labas il retrouve un sculpteur nommé Achille Canessa, un vieil ami de son père. Il lui confie une photo de lui prise au cimetière et en tenue de travail et le charge de la réalisation d’une statue grandeur réel en respectant scrupuleusement les éléments de la photo . En 1910, David embarque pour Buenos aires avec l’emcombrante statue à son effigie. Une fois arrivé sur place, il informe la direction du cimetière qu’il renonce à son poste de gardien. Peut-être était-il pressé d’inaugurer son caveau ? David rentre chez lui et là c’est le drame, il se suicide! Les circonstances du drame ne sont encore bien connues mais je vous invite à réserver une belle journée de visite avec moi pour connaitre la suite !! maxguideargentine@gmail.com

Patagonie : Découvrez la beauté sauvage

patagonie

Introduction à la Patagonie La Patagonie, une région d’une beauté naturelle incroyable, est une terre de contrastes saisissants. Allant des majestueuses montagnes enneigées aux vastes plaines et aux glaciers spectaculaires. Nichée au sud de l’Amérique du Sud, cette terre mystique attire les aventuriers et les amoureux de la nature du monde entier. Aperçu géographique La Patagonie s’étend sur une vaste étendue de terres partagées entre l’Argentine et le Chili. Couvrant environ 1 043 076 kilomètres carrés. Cette région diversifiée abrite une variété de paysages, notamment des montagnes imposantes, des forêts luxuriantes, des lacs cristallins et des côtes spectaculaires bordées de fjords. Flore et faune La biodiversité de la Patagonie est remarquable, avec une abondance de flore et de faune uniques. Des espèces emblématiques telles que le guanaco, le puma, le condor des Andes et le lama guanicoe peuplent ces vastes terres, tandis que des forêts de hêtres et des steppes herbeuses offrent un habitat vital à une multitude d’espèces végétales. Cultures autochtones La Patagonie possède également une riche histoire culturelle, façonnée par les peuples autochtones qui ont appelé cette région leur foyer depuis des millénaires. Leurs traditions, leur artisanat et leur mode de vie nomade ont laissé une empreinte indélébile sur la culture patagonienne moderne. Exploration et histoire Les premières rencontres européennes avec la Patagonie remontent au 16e siècle, lorsque les explorateurs ont navigué le long de ses côtes sauvages. Au fil des siècles, des expéditions audacieuses ont été lancées pour explorer les terres inconnues et percer les mystères de cette région reculée. Tourisme d’aventure Aujourd’hui, la Patagonie est une destination prisée pour les amateurs d’aventure du monde entier. Des activités telles que la randonnée, l’alpinisme, le kayak, et l’observation de la faune offrent des expériences inoubliables dans ce cadre naturel époustouflant. Efforts de conservation Cependant, le développement touristique rapide et les défis environnementaux menacent l’équilibre fragile de l’écosystème de la Patagonie. Des initiatives de conservation sont donc essentielles pour préserver la beauté naturelle de cette région et protéger ses espèces emblématiques. Signification économique Le tourisme joue un rôle crucial dans l’économie de la Patagonie, offrant des opportunités de développement économique tout en sensibilisant à l’importance de la préservation de l’environnement. Un tourisme durable peut contribuer à soutenir les communautés locales tout en préservant les ressources naturelles. Défis et menaces Cependant, la Patagonie est confrontée à des défis majeurs, notamment le changement climatique. La surexploitation des ressources naturelles et les conflits entre développement et conservation. Il est essentiel de trouver un équilibre entre le développement économique et la protection de l’environnement pour assurer un avenir durable pour cette région unique. Conclusion En conclusion, la Patagonie est bien plus qu’une simple destination touristique. C’est un témoignage vivant de la beauté brute et de la diversité de la nature. En préservant et en célébrant ce joyau naturel, nous honorons non seulement notre passé, mais aussi les générations futures. FAQs